LE ROI DU MONDE

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SOMMAIRE

 

Ce qu'ils en disent

Saint-Yves d'Alveydre

Ossendowski

René Guénon

 

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Swedenborg

 

 

 

 

 

 

 

 

Swedenborg

"Il est impossible, disait-il, de révoquer en doute la priorité des Écritures asiatiques sur nos Écritures saintes. Pour qui sait reconnaître avec bonne foi ce point historique, le monde s'élargit étrangement. N'est-ce pas sur les plateaux de l'Asie que se sont réfugiés les quelques hommes qui ont pu survivre à la catastrophe subie par notre globe..." Balzac, Louis Lambert.

"Le bois signifie le bien naturel dans lequel étaient les hommes du troisième âge de la terre. Comme le cuivre ou l'airain signifie aussi le bien naturel, l'âge dans lequel ils ont vécu, a été nommé l'âge d'airain par les anciens. Il y a aussi des édifices sacrés construits en bois d'olivier, au centre desquels se trouve le sanctuaire où, dans une arche, est déposée la Parole donnée aux habitants de l'Asie avant la parole israélite. Les livres historiques de cette Parole sont appelés Les Guerres de Jéhovah, et les livres prophétiques, les Énoncés. Ils sont tous deux cités par Moïse - Nomb. XXI., 14, 15 , et 27 à 30. - Cette Parole est aujourd'hui perdue dans les Royaumes de l'Asie, et tenue en réserve dans la Grande Tartarie." Swedenborg, Amour conjugal, n°77.

L'ange dit : "Cette lumière est produite par cette Ancienne Parole Asiatique, car dans les Cieux tout Divin Vrai brille." Swedenborg

Voir aussi Le centre 

Anne-Catherine Emmerich et la "Montagne des Prophètes"

« Je sais pourquoi j’étais allée sur la montagne : mon livre se trouve parmi les écrits qui sont sur la table, il me sera rendu pour que je lise les cinq dernières feuilles. L’homme assis devant la table reviendra en son temps. Son char reste là comme souvenir éternel. C’est sur ce char qu’il monta à cette hauteur et les hommes, à leur grand étonnement, le verront redescendre sur ce char.

C’est là, sur cette montagne, la plus élevée qui soit au monde et où personne ne peut arriver, qu’ont été mis en sûreté, lorsque la corruption s’est accrue parmi les hommes, des trésors et des mystères sacrés. Le lac, l’île, les tours n’existent que pour que ces trésors soient conservés et garantis de toute atteinte. C’est par la venue de l’eau qui est sur ce sommet que toutes choses sont rafraîchies et renouvelées. Le fleuve qui descend de là et dont l’eau est l’objet d’une si grande vénération pour les hommes que j’ai vus, a réellement une vertu et les fortifie : c’est pourquoi ils l’estiment plus que leurs vins. Tous les hommes, tous les biens sont descendus de cette hauteur et tout ce qui devait être garanti de la dévastation y a été préservé.

           L’homme qui est sur la montagne m’a connue : car, j’ai là ma part. Nous nous connaissons tous, nous tenons tous les uns aux autres. Je ne puis pas bien l’exprimer ; mais nous sommes comme une semence répandue dans le monde entier.

           Le paradis n’est pas loin de là. J’ai vu déjà antérieurement comment Élie vit toujours dans un jardin devant le paradis. »